Cette étude montre comment D.ieu a délibérément bâti la lignée royale dans des contextes si « impossibles » que Satan n’imaginerait jamais qu’une sainteté puisse en sortir. Des ténèbres surgit la lumière.
D.ieu bâtit la lignée royale là où Satan ne regarde pas : des récits qui semblent moralement disqualifiants. Satan fixe la lumière ; D.ieu œuvre dans l’ombre.
Loth : Inceste ; Sodome. Moav : « Interdit ». Yehouda/Tamar : « Prostitution ». David : présumé illégitime.
Verdict de Satan : « Aucune sainteté ne sortira d’ici. » — Exactement l’endroit choisi par D.ieu.
Chaque « scandale » = protection. Chaque « rejet » = sélection divine. Chaque « impossibilité » = scène de l’Omnipotence.
Avec 42 sacrifices et une intention tranchante, Bilaam ne peut renverser l’alliance. La malédiction se renverse en bénédiction ; la semence royale avance.
Le 42 fait écho à un Nom profond ; Bilaam cherche à le détourner. Mais une puissance sainte ne sert pas le mal : ses manœuvres se transforment en prophéties.
La lecture de Balak autour de cette date chuchote l’espoir : là où paraît la ruine, s’enracine la rédemption.
L’intention pure perce le brouillard. Le ‘hessed de Ruth devient le canal de la royauté.
Élevé comme un extérieur, David est caché aux yeux des siens — et de Satan. Le couvert parfait voulu par D.ieu.
Fais confiance à la couche cachée. L’atelier de D.ieu se trouve souvent là où le monde ne voit que des ruines.
Chaque « scandale » fut un bouclier ; chaque « rejet », un choix ; chaque « impossibilité », un corridor pour la lumière. Balak nous apprend à dépasser l’apparence et à nous fier à la main cachée.
Qu’advienne vite le Roi Machia’h, de nos jours. Amen.